Le 8 mars marquait la journée internationale des femmes 2020. L’égalité entres les femmes et les hommes continue à ne pas être vécue dans beaucoup de régions du monde. Même en Suisse, elle n’est pas vécue dans tous les domaines. Étant donné que nous estimons qu’il est important de rendre attentif aux préoccupations des femmes et de connaître leur opinion, nous donnons ici la parole à 3 de nos collaboratrices.
Nous aimerions que les contributions de nos collaboratrices soient rendues de façon la plus authentique possible. Leurs contributions n’ont donc pas été traduites.
Saga Nielsen, Master ès Sciences en Géosciences et environnement dipl. UNIL, Cheffe de projet bruit & environnement
» En recherche d’expériences professionnelles à la fin de mes études supérieures, j’ai eu l’occasion de passer plusieurs entretiens et je dois dire que, parfois, mon statut de femme était discrètement mis en avant dans la discussion. Ce n’était pas fait de manière incisive, mais cela relevait une crainte ou un apriori.
Lord de mon entretien d’embauche chez Prona il y a maintenant 10 ans, la discussion était exclusivement basée sur le poste à pourvoir et mes compétences professionnelles. Cela a mis le cadre à toutes ces années de collaboration où il n’y jamais été question de savoir de quel sexe est le collaborateur. Prona s’applique à soutenir un environnement de travail dynamique avec une équipe soudée constituée d’individus à compétences propres, hommes ET femmes.
En 10 ans, la vie privée évolue également. Maintenant mère de 2 enfants, j’ai pu sans aucun problème – et avec le soutien de mon employeur – adapter mon taux d’activité. Ce que je ressens à mon travail ? L’ouverture d’esprit et la prise en considération de l’individu dans son ensemble. «
Dr. Annette Bretscher, Dr. phil. -nat. géologie, Collaboratrice de projet déchets & sites pollués
» Als Angestellte der Prona AG nehme ich wahr, dass ich als Mensch angesehen werde. Ich habe in den 10 Monaten, während denen ich jetzt hier arbeite, nie eine geschlechtsbezogene Bemerkung oder Sprüche gehört. Ich glaube, alle Menschen, die hier arbeiten sind sehr achtsam und sehen die Kollegen einfach als Menschen an. Auf den Baustellen nehme ich schon wahr, dass meine Anwesenheit für die Bauarbeiter etwas «Besonderes» ist. Manchmal stört mich das, wenn ich merke, dass sich die Leute anders verhalten. Manchmal aber finde ich es auch angenehm, wenn ich «umsorgt» werde. Am meisten stört mich aber, wenn auf der Baustelle gegenüber anderen Arbeitern rassistische Witze fallen. Wenn auf Baustellen primitive sexistische Witze fallen, zwar nicht an mich gewendet, dann stört mich das auch, denn solche Witze heben automatisch das Geschlecht aller Anwesenden in den Vordergrund. Ich ignoriere diese Witze, um zu zeigen, dass mich dieses Verhalten kein bisschen beeindruckt.
Fachlich wurde bisher auf den Baustellen aber stets respektiert und das was ich sagte wurde ernst genommen. «
Claire Durgnat, Ing. en environnement dipl. HES
» Au sein de l’entreprise Prona, chaque employé/e a la même place indépendamment du genre. L’opinion et le travail des femmes sont considérés équivalents à ceux des hommes. La direction soutient l’égalité et tous les membres du personnel par leur comportement permettent d’aller dans ce sens. Nous n’avons pas l’impression que nous avons le droit à un traitement de faveur en tant que femme à Prona mais bien un traitement d’égal à égal entre les genres. Cet équilibre favorise les relations professionnelles, la qualité du travail et le confort. «